Un bus dans l’immensité comme une fourmi isolée. Un arrêt, un croisement. Au milieu de nulle part. En poche une promesse : il y a un village quelque part au bout de la piste. Des alpagas mâchouillant regardent passer les croyants esseulés aux empreintes vite balayées. Et puis.. quelques âmes qui peuplent en effet un groupe de maisons.
Des volcans tranchent sur l’horizon, quelques pierres marquent les sentiers au milieu de cette immensité recouverte de touffes d’herbes jaunes couchées par le vent.
Pour seules lumières les étoiles qui allument la voûte céleste dans le halo de buée que l’on exhale dans la nuit glacée.
Pour seules lumières les étoilesqui allument la voûte céleste dans le halode buée que l’on exhale dans la nuit glacée.
Pablo Neruda
Pour seules lumières les étoilesqui allument la voûte céleste dans le halode buée que l’on exhale dans la nuit glacée.
Pablo Neruda
Un bus dans l’immensité comme une fourmi isolée. Un arrêt, un croisement. Au milieu de nulle part. En poche une promesse : il y a un village quelque part au bout de la piste. Des alpagas mâchouillant regardent passer les croyants esseulés aux empreintes vite balayées. Et puis.. quelques âmes qui peuplent en effet un groupe de maisons.
Des volcans tranchent sur l’horizon, quelques pierres marquent les sentiers au milieu de cette immensité recouverte de touffes d’herbes jaunes couchées par le vent.
Pour seules lumières les étoiles qui allument la voûte céleste dans le halo de buée que l’on exhale dans la nuit glacée.
Pour seules lumières les étoilesqui allument la voûte céleste dans le halode buée que l’on exhale dans la nuit glacée.
Pablo Neruda